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journalbanal
17 novembre 2011

17 novembre : j'ai perdu mon caleçon

Quand on écrit un journal banal, on n'a pas toujours des trucs à raconter. Alors ma journée a été banale, c'est le moins que l'on puisse dire.

Alors parait-il il faut pimenter la vie ! Les bétises du jour ? Pas grand chose... j'ai balancé le stylo de l'hotesse d'accueil, piqué le chapeau d'une collègue... pas eu le temps vraiment d'en faire plus.

Faut dire que j'ai passé ma matinée à passer faire signer un tee shirt pour une collègue qui nous quitte. Et là ça va me faire drôle ! C'était ma binôme dans le boulot. Elle m'a ajouté sur son facebook, et là oh surprise !!! J'ai découvert des photos d'elles magnifiques ! Quand elle est maquillée, elle est magnifique....

Elle cache bien son jeu...

J'ai aussi mon amie qu téléphone, celle que je vous ai parlé avant hier... oui, celle qui a trop de qualités, la femme parfaite ! Si il y a une copie je suis interessé...

Ce soir, j'ai acheté une pizza... rien de passionnant...

Je ne sais pas si je vous ai dit... mais j'ai acheté les sims.. j'incarne un beau mec qui a des traits de génie et qui a un sens de l'humour incroyable... tout l'inverse de moi... Son but c'est d'être chef d'une multinationale.

Moi quand j'étais petit, je voulais être chef de tout... et je voulais posséder des milliards de dollars... et avec cet argent, la première chose que je voulais faire c'était acheté un chauffage pour la LNA JAUNE de ma maman...

lna

Pour passer inaperçu c'était génial !!! Elle était bien cette petite voiture...

Oyé, aujourd'hui je suis prince de Magik Flowers, mais ça ne rapporte un pécos... Je devrais peut-être penser à changer de royaume, mais que va dire ma vache servante et confidente lolita.. Je ne veux pas la rendre malheureuse... oh non non... Je ne vous l'ai pas dit que j'étais prince... j'ai aussi été prince de Lu, mais ça n'a pas duré longtemps.. Après j'ai été pepito... mais là, la formation était difficile.. Pendant jours ils vous piquent les fesses pour vous entendre crier "AILLLLEEE PEPITO!!!!"  Bon là comme prince de magik flowers, c'est plus tranquille...

Bon aujourd'hui, ça été une journée terrible... car j'ai perdu mon caleçon !! Mais où était passé mon caleçon... Je vais vous raconter ma folle journée à MagikFlowers !

Alexandrus Bordelus 1er : Où est ce que j’ai bien pu ranger mon caleçon ???  Lolita a du passé par là ce n’est pas possible… et puis si je vais voir maman, elle va encore me dire, que j’accuse les autres et patati patata… pffff … oh excusez-moi cher lecteur, ou chère lectrice, mais là je dois absolument retrouver mon caleçon…. Au moins que… mon journal intime, je t’ai retrouvé…. Je prends mon plus beau stylo de marque bic et de couleur bleue… et je vais t’écrire un petit mot.

« Cher journal intime,

Ce matin mon père Markus est parti en ville, ma vache Lolita est malade, et moi je ne retrouve plus mon caleçon… Je suis toujours célibataire, et je m’ennuie grave ici… il n’y a rien à faire dans ce château… ce matin, au petit déjeuner, j’ai rencontré l’ami ricoré, très sympa avec sa tenue jaune, car benco lui est en marron. Madame Barry, va venir me faire des cours, je ne l’aime pas madame Barry, elle est moche, et quand elle monte sur la balance, il est écrit « on a dit un par un ». J’ai regardé une chaîne terrienne… « questions pour un champion », là où on gagne un dico.. car dans ce pays, plus t’es bête, plus t’as des gros cadeaux… et les plus intelligents gagnent des encyclopédies. Ça me ferait marrer qu’ils offrent des encyclopédies au « Bigdil »… je crois qu’au regard de ma connerie, je pourrais être multi milliardaire. Faut que je monte un plan diabolique avec mon ami Pierrus, il en tient une « couche » aussi.

Aussi, je viens de terminer mon labyrinthe pour mon poisson rouge, je ne voudrais pas qu’il s’ennuie. Il lui arrive d’être plus intelligent que mon ex petite copine Marielysius.

Pourtant il est bête mon poisson rouge, mais je l’aime bien. Cher journal, je vais aller à la rencontre de la sorcière en espérant que je ne croise pas couillu le caribu et Sami croquette... oh la la c’est dangereux là-bas, je tiens à pouvoir me reproduire moi… Penser à demander à Madame Barry comment on fait… vite faut que je file… je vais mettre mon pantalon sans mon caleçon tant pis »

La vie du royaume n’était pas mouvementée. On aurait cru un royaume comme les autres.. pourtant il n’était pas tout à fait comme les autres.

Alexandrus Bordelus 1er : Bon allez, allons à la rencontre de la sorcière. Où ai-je mis mes baskets… oh ce n’est pas vrai, je ne les retrouve plus non plus….

Pendant qu’Alexandrus Bordelus 1er (qui portait bien son nom) continuait à chercher ses affaires, arrivait au royaume Madame Barry. Elle était gentille mais pas avantagée par la nature, les enfants ne l’aimaient pas.

 

Madame Barry : ouh ouh, dit-elle avec sa grosse voix.

Francettus Commandus 5 : ah ! vous voilà Madame Barry, vous voulez boire quelque chose ?

Francettus Commandus 5 avait toujours un don pour s’occuper des cas difficiles. Madame Barry en était par son caractère de cochon.

Madame Barry : Je ne suis pas là pour ça, dit –elle d’un ton sec.

Francettus Commandus 5 : Faut vous trouver un homme Madame Barry

Madame Barry : Occupez vous de vos affaires… et puis je n’aime pas les hommes

Francettus Commandus 5 : Eh bien ! Trouvez-vous une femme

Madame Barry : Je n’aime pas les femmes non plus. Ca râle tout le temps.

Francettus Commandus 5 : Alexandrus est à l’étage, dans sa chambre… , dit-elle d’un ton désespéré. 

 

Voilà, comment ma mère avait expédié madame Barry, et moi, qui cherchait toujours mon caleçon et …mes baskets maintenant oh là là

L’escalier craquait de plus en plus. C’était madame Barry. Je ne voulais pas la voir, surtout dans ma tenue légère. J’enfilai vite un pantalon. Je lui réservais un accueil très particulier.

Madame Barry : Bonjour mon enfant.

Alexandrus Bordelus 1er : Je ne suis pas votre fils, je ne le serai jamais, vous êtes trop moche. Un jour le plancher craquera et vous descendrez d’un étage.

Madame Barry : Comment oses- tu ?

Alexandrus Bordelus 1er : Je suis le prince, et c’est moi qui écris l’histoire, alors je fais ce que je veux.

Madame Barry : Tu ne veux pas me rendre très belle, et me faire perdre mes kilos sans faire le régime wetwet de ta chère mère, et me faire rencontrer un homme beau, musclé, intelligent, grand…

Alexandrus Bordelus 1er : ça existe ça ?

Madame Barry : on est bien dans un conte

Alexandrus Bordelus 1er : C’est vrai que les hommes parfaits n’existent que dans les contes. D’accord à condition, que vous m’aidiez à retrouver mon caleçon et mes baskets.

Je décide alors d’aller à la rencontre de la sorcière avec madame Barry. Dans le fond elle était gentille.. ; mais vraiment dans le fond.

La sorcière était la seule qui pouvait m’aider à retrouver mon caleçon et mes baskets. Du coup, j’ai décidé de partir avec mes tongues, dans la forêt. Madame Barry chantait, elle était heureuse. Mais, qu’est ce qu’elle chantait faux, limite insupportable. J’étais obnubilé par ses gros seins qui tombaient. Beurk. Une question me venait à l’esprit, mettait-t-elle des serre-gougoutes ? Chez vous, vous appelez ça des soutiens-gorge. Faut que je le dise à mon journal intime, que j’ai oublié de ranger.. mince. Tant pis pour moi.

Nous commencions à entrer dans l’obscurité des bois. Il faisait de plus en plus froid. Moi, je n’osais pas dire que je commençais à me le geler, surtout sans mon caleçon, je ne tenais pas trop à ce que Madame Barry me réchauffe, on ne sait jamais… Pourvu que l’on ne croise pas couillu le caribu et sami croquette dans cette forêt.

Tout à coup, nous fûmes déranger par casse-noisettes. C’était un écureuil de la caisse d’épargne à la retraite.

Casse noisettes : Bonjour mon cher prince, bonjour madame, vous vous risquez dans la forêt faites attention à vous…

Alexandrus : Je sais ce que je fais, casse-noisettes, je maîtrise la situation. Par où nous conseilles-tu d’aller pour aller voir la sorcière ?

Casse noisettes : Tu me donnes combien si je te le dis ?

Alexandrus : Toujours à vouloir me voler des sous celui-là.

Casse noisettes : désolé, un vieux réflexe de banquier… De mon temps, on m’appelait monsieur agios. Tout droit vous y arriverez.

Alexandrus : Merci casse-noisettes

Madame Barry : Tu connais tout le monde dans la forêt, Alexandrus ?

Alexandrus : Accessoirement oui, puisqu’ils sortent de mon imagination. Lui c’était mon banquier.

Madame Barry : que tu as imaginé en écureuil

Alexandrus : voilà. Car tout le monde a l’image de l’écureuil, j’aurais fait un éléphant ou une girafe banquier dans une forêt, on aurait eu du mal à saisir.

Madame Barry : Et là maintenant qu’est-ce qui se passe ?

Alexandrus : Nous allons écouter casse-noisettes, et aller tout droit pour rencontrer la sorcière.

Madame Barry : Tu aurais dû t’imager en singe (rires)

Alexandrus : pfff…

 

Je ne riais pas aux blagues de madame Barry. Elle m’imaginait en singe, mais tu vas voir ce qu’il te faire le singe, il va te mettre une claque, et vérifier si tu mets des serre-gougouttes. Tout à coup, qui vois –je ?

 

Alexandrus : Lolita, que fais tu là, je te croyais malade.

 

Lolita était ma vache, ma confidente, elle était à mon service. Elle tombait facilement amoureuse, mais elle était commère. Moi je l’adorais. Elle venait de la planète Milka, là où naissent les vaches violettes.

 

Lolita : tout le monde vous cherche au royaume cher prince. Montez dans l’hélico avec moi et madame Barry

Madame Barry : Moi, j’ai le vertige

Alexandrus : Et moi je suis à la recherche de mon caleçon, tu ne l’aurais pas vu ?

Lolita : Le moche ?

Alexandrus : tu exagères

Lolita : Et bien, je l’ai rangé dans ton armoire, tu as mal cherché

Alexandrus : et mes baskets ?

Lolita : Elles trainent dans le salon du château

Madame Barry : Tout ça pour ça

Alexandrus : Madame Barry, vous attendrez pour être jeune et belle, car vous ne m’avez pas aidé. Dépêchons-nous de rentrer au Royaume, il se fait tard. (et j’avais de plus en plus froid).

 Nous rentrions tous au château, et moi, comme d’habitude, j’étais content, j’avais une fois de plus trouvé une parade pour éviter le cours de Madame Barry, mais aussi, j’avais ameuté le royaume pour pas grand-chose. 

Et moi, j'ai encore écrit pour pas grand chose... Vous vous imaginez bien qu'avec une vie pareille... ben pas de sexe zip zip rideau !

Je terminerai par un proverbe que j'adresse à notre président de la république : Une pirogue n'est jamais trop grande pour chavirer...

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